Un petit module quasiment aussi puissant (peut-être plus!) que Radio : pMachine... pour faire rouler ce site annonçant un colloque à l'UQAM.
«Le Web de 3ème génération, ou l'Internet post-bulle». Ce n'est pas une question, mais bien le thème d'une rencontre au cadre relativement informel prévue pour le 15 juin prochain dans les locaux de l'Université du Québec à Montréal (UQÀM).
[Via le tout nouveau feed de ConstellationW3] [Sylvain Carle: Francais]
Le 8ième colloque du RQIIAC commence demain soir (ou plutôt jeudi matin), à Rouyn-Noranda.
Économie sociale, développement local, nouvelle gouvernance... des questions nombreuses, chaudes, complexes seront abordées. Espérons qu'il fera beau, sans que les moustiques soient encore arrivés ! Si j'ai une chance, je dépose quelques blogs en cours de colloque !!
- Un texte récent de Benoît Lévesque : Entreprendre autrement... Weber, Schumpeter... Une réflexion de fond !
Après plusieurs années de planification, de négociations, de pressions... le CLSC Hochelaga-Maisonneuve entrait en ses nouveaux locaux aujourd'hui : 4201 rue Ontario Est.
Ça fait tout un changement, de voir les employés des 3 points de services rassemblés... Nouvel accueil, salles de réunions plus nombreuses...
J'aurais dû demander à quelqu'un du groupe de m'identifier sur la photo du dîner les noms auxquels je n'accole pas encore les visages... ou plutôt l'inverse.
Et ceux qui ne se trouveraient pas photogéniques se consolent en regardant ma 'bette' dans cette seconde photo ! Et une troisième photo donne une idée du menu !
Le groupe de Bordeaux, plus précisément les finissants du DEDPAD (diplôme d'État de directeur de projet d'animation et de développement ) de l'Institut Michel de Montaigne terminent demain leur passage au Québec. Nous avions monté un petit weblog collectif pour l'occasion...
Malgré la mauvaise température qui a sévit tout le long (ou presque) de leur voyage... j'espère bien qu'ils garderont un souvenir qui les incitera à poursuivre les échanges avec les intervenants et animateurs du Québec... Des échanges à poursuivre avec Michel Cuisinier, notamment...
Sur cette question déjà abordée ici, le Time Magazine fait un article de qualité... de l'avis des connaisseurs.
The higher costs of PFI (private finance initiative) are due to financing costs which would not be incurred under public financing
Many hospital PFI schemes show value for money only after risk transfer, but the large risks said to be transferred are not justified
PFI more than doubles the cost of capital as a percentage of trusts' annual operating income
(tiré de Private Finance and value of money, par A. M. Pollock, BMJ)
Sont-ce des perspectives envisagées ici, au Québec ? On en parle, surtout en ce qui concerne les plateaux techniques, cliniques pivots et autres GMF... Cependant le premier point des trois cités ici laisse entendre que les coûts de financement de l'État sont nécessairement modèstes et non élevés... Je n'en suis pas si sûr. Par ailleurs c'est assez clair que les partenariats privé-publique conduisent souvent à laisser les gros risques au publique, rendant l'opération plus facilement rentable pour le capital privé.
Pourquoi alors payer une sur-prime au capital privé si c'est pour que celui-ci se sauve du risque dans le domaine de la santé... alors qu'il est prêt à perdre sa chemise dans l'informatique !
- MPOC (maladies pulmonaires obstructives chroniques) et évaluation : une proposition à formuler pour s'assurer que l'évaluation qui sera faite par la régie étudie de près que le MAXIMUM des cas soient transférés en première ligne (CLSC) et non gardés pour servir à l'établissement d'une première ligne et demi entre les CSLC et hôpitaux. Le SRSAD se définit lui-même comme "de première ligne"... tout en se disant offrir des services trop spécialisés pour être offerts par la première ligne ! Si c'est trop spécialisé pour être en première ligne ça doit aller en deuxème ligne, pas dans quelque chose en tre les deux. Autrement on se retrouvera avec un saucissonnage des clientèles, dans un enchevêtrement de réseaux régionaux semi-spécialisés indépendants...
- nous avons eu droit à une prestation exceptionnelle du Dr Victor Goldbloom, qui nous a résumé en termes savants mais clairs les enjeux entourant l'augmentation importante du nombre des enfants autistes
- atteignant un enfant sur 1/147 (alors qu'il y a quelques décennies on en dénombrait 1 sur 5000).
- des centaines de parents se réunissent chaque année pour suivre les développements de la science et des traitements dasn ce secteurs
- les hypothèses concernant le triple vaccin RRB comme vecteur de propagation
- à moins que ce ne soit le mercure utilisé comme agent de conservation de certains types de vaccin.. une hypothèse qui semble infirmée par les dernières recherches
- un vibrant plaidoyer en faveur de la poursuite de la recherche et des services aux familles
- le débat s'est amorcé sur la "nouvelle gouverne", autour de propositions de rattachement de 2 CHSLD à des CLSC et la création du conseil unifié de St-Michel... Les propositions furent adoptées mais il faudra à la régie expliciter mieux les raisons de tels appuis que seulement "c'est la tendance", surtout dans les cas où certains acteurs (notamment syndicaux) contestent une telle orientation. À suivre.
- Le point sur le budget s'est fait à huis-clos ! vous me pardonnerez d'être encore moins clair que d'habitude ! un huis clos parce que le ministre n'a pas encore donné ses dernières directives. Déjà un mois de retard par rapport à l'an dernier.
- des questions difficiles avec lesquelles le (les) ministres doivent jongler : comment encourager les CH performants (suivant l'application du rapport Bédard pour la seconde année) sans enfoncer ceux qui ne le sont pas, encore plus ?
- comment justifier de ne pas soutenir l'effort dans les autres réseaux, tant qu'une "formule Bédard" ne sera pas trouvée pour eux... ce qui risque d'être passablement plus long, parce que ces formules sont mieux adaptées aux actes déjà très codifiés des hôpitaux qu'aux services de première ligne... sans compter les risques de dérapages et contestations qui, en milieu hospitaliers peuvent mieux se 'contrôler' en raison du plus petit nombre d'établissements (et de la reconnaissance moins problématique de la grille DRG-Diagnosis Related Group dans ce milieu).
- mais même dans ce milieu, le problème est grand au point de questionner la pertinence de cette approche pour les CHU
« L'initiative de financement privé (the private finance initiative) par laquelle le service de santé national remplace les anciens hôpitaux peut s'avérer myope, décalant les coûts des générations actuelles à nos descendants (p 1205). Ceci peut être particulièrement onéreux pour les générations qui peuvent ne pas pouvoir se retirer parce qu'ils payeront les pensions généreuses que ceux de 45 ans et plus se sont attribuées à eux-même (p 1173). Cette initiative de financement privé, bien que compliquée et fastidieuse, devrait être suivie avec intérêt parce que les partenariats publique privé sont à la mode pour toutes les sortes de projets.»
Tiré (ma traduction) de l'Editor's choice du British Medical Journal. Toujours aussi critique, intelligent, et disponible gratuitement in extenso sur leur site... avec en prime une procédure d'abonnement sophistiquée où l'on peut choisir de ne recevoir par courriel que les articles portant sur... la santé publique dans les pays hors UK... ou la santé primaire, ou l'ophtalmologie européenne !
animateur socio-culturel auprès d'une commune de 7000 personne... St-Yrieix-sur-Charente.
- quelle différence ça fait de travailler avec 7000 personnes à plein temps, alors que dans les CLSC les animateurs travaillent avec des communautés de 50, 75 000 personnes !
- des relations "micro", une articulation plus fine aux réseaux, à une culture plus fragile parce que "vieille"...
- mais aussi des coûts plus élevés... beaucoup plus élevés...
- mais des effets plus qualifiés : une culture !
- relations verticale avec la fédération d'éducation populaire et horizontale avec la mairie... Comment gérer ça ? Au service de qui on est ? Des deux ??
- quel réseautage : la fédération (d'éducation) mobilise-t-elle surtout des élus ? les animateurs ont-ils leurs associations professionnelles ? Lesquelles ?
- par formations, par réseaux de rattachements (employeurs) ?
- colloques, revues, échanges entre praticiens ?
Un petit site pour suire les péripéties d'un groupe de français en visite au Québec...
Un petit site temporaire sur weblogger ! Facile à mettre en place, et ça permet à ceux qui sont restés là-bas de participer !
- Après l'adoption d'un cadre de référence (RQIIAC), quel sera le rôle des équipes locales dans l'élaboration de la politique institutionnelle de leur établissement ? Définir une politique institutionnelle, c'est adopter un point de vue "institutionnel"... n'est-ce pas trahir le sens critique nécessaire à la pratique de l'organisation communautaire ?
- Nous en sommes à ces questions, ici à HM, au moment de terminer un processus de formation et de discussion... alors que nous constatons la radicalité des oppositions qui divisent les membres de l'équipe.
- Pourtant, nous ne cherchons pas à réduire les différences et imposer UNE école comme politique institutionnelle mais plutôt à identifier des stratégies, des approches, pouvant servir à répondre aux différents besoins de la population. La reconnaissance de plusieurs tendances, écoles ou paradigmes de l'organisation communautaire n'implique la dépréciation d'aucune, à moins que l'une d'entre elle ne se veuille LA SEULE légitime.
"Le Comité propose donc de revoir également le mode de budgétisation du
Ministère et des régies régionales, en procédant à la ventilation de leurs
enveloppes budgétaires par programme de services et en prévoyant les budgets
selon l’évolution de la demande de soins."
"We build a lot of celebration into every gathering. That's very important. A lot of this is not easy. We have some very tough conversations. Celebration helps to sustain people."
Tiré d'un vieux texte...(1994) en promotion de la santé... sur les 'learning communities' et le mouvement des 'healthy cities'... par Joe Flower and Tyler Norris.
Me suis retrouvé là en lisant le texte de Michel O'Neil (La promotion de la santé au Canada: déclin ou mutation?) présenté en page d'accueil du site (nouveau et amélioré) de Promosanté.
- mettre 'nos billes sur la table', annoncer nos couleurs afin qu'elles soient (potentiellement) intégrées au plan proposé...
- quelle vision avons-nous des priorités de santé publique (prévention, promotion) à poursuivre... quelles méthodes, préoccupations avons-nous à mettre sur la table, AVANT que le plan soit déjà rédigé...
- quelle vision avons-nous des priorités de santé publique (prévention, promotion) à poursuivre... quelles méthodes, préoccupations avons-nous à mettre sur la table, AVANT que le plan soit déjà rédigé...
- des faits convergents nous incitent à douter de l'affectation des ressources... à montrer du doigt le hiatus culturel empêchant que les efforts consentis par les réseaux de services de santé rejoignent les populations les plus dans le besoin : au niveau des services à domicile, des service en santé mentale, des services aux familles avec enfants handicapés... les plus pauvres, les plus malades demandent le moins! (pour en savoir plus)
- voir, notamment le dernier rapport de la Direction de santé publique de Montréal
La budgétisation et la performance financière des centres hospitaliers - Résumé 2002
Le comité sur la réévaluation du mode de budgétisation des centres hospitaliers de soins généraux et spécialisés (CHSGS) a été créé en juin 2000 par le ministère de la Santé et des Services sociaux qui lui a confié le mandat de revoir le mode de budgétisation afin de :
- mieux refléter l'évolution du volume et de la lourdeur des soins hospitaliers,
- favoriser la performance relative des établissements,
- maintenir un contrôle adéquat des budgets alloués.
Je ne sais quel pourcentage des budgets de l'année qui vient seront affectés suivant cette nouvelle méthode... après une première amorce l'an prochain. Les données du ministère n'étant pas encore arrivées au régional, pour l'année financière commencée depuis un mois... il n'y aura pas grands débats AVANT la distributions des budgets... encore une fois.
En réponse à mon commentaire d'hier Michel Dumais ajoutait...
Dave Winner est un être egomaniaque. Me, myself and I. Et désolé de te contreduire Gilles, mais oui, à 40$ par année, on est en droit de s'attendre à, sinon de la fiabilité, tout au moins d'avoir la vérité en tant que client. Chose que les utilisateurs de Blogger ont, et ceci gratuitement. Quand à savoir si bientôt un serveur Radio (et non pas Frontier qui lui, se vend près de 900$US) fera son apparition au Québec, si j'étais toi, je serais zen et patient...
qui sait ;-)) *dit-il avec un sourire en coin*.
Zen et patient... c'est pas tout à fait mon genre ! Mais avec l'âge (j'arrive à la cinquantaine ce mois-ci... j'y crois pas moi-même !) je le deviens un peu plus.
Toujours est-il que si, oui, un serveur Radio se développait dans le coin ce serait intéressant... À défaut de convaincre mon hébergeur (ou d'autres) d'installer Frontier (à 299$US pour les OSBL), j'étais prêt à déménager notre site vers un serveur offrant déjà la formule Radio / Manila... Mais là, j'ai frappé un noeud : pas d'ASP !
Un serveur Frontier qui serait en même temps NT... j'ai l'impression qu'il me faudra être Zen longtemps ! Ou bien je transfert mon 13 Mo de base Access sous MySQL... Ce serait sans doute plus facile.
Oui, l'utilité de cette méthode (FTP sur le site du RQIIAC) sera de permettre à des 'radio-carnetistes' de poster directement leurs écrits sur un répertoire du site... comme 'chroniqueur spécialiste d'un domaine'... Ou encore de laisser ces carnets individuels sur le serveur de Radio (avec le risque des périodes de pannes - mais qui n'en a pas !) après tout, le prix comprend l'hébergement de 20 Mo... autant ne pas avoir ces 20 Mo sur notre serveur !
Mais alors, grâce à un Radio-éditeur peut rediriger les meilleurs écrits, ou encore toutes les contributions en un seul lieu en s'abonnant (syndication - le XML orange) à ces différents carnets et republiant sur un seul endroit. C'est avec mon niveau de connaissances limité des XML, et autres RPC... le seul moyen de publier la production de plusieurs blogueurs sur un même répertoire (une même page).
Ce qui reviendrait à permettre la production décentralisée (et grandement facilitée) de certaines parties du site avec le moins d'interférence de la part d'un webmestre ! Et ça en contournant la difficulté rencontrée jusqu'à présent pour trouver un hébergeur qui veuille installer Frontier (le logiciel serveur de sites Manila... le grand frère de Radio) en même tem,ps que notre site basé sur des pages ASP...
Éventuellement, nous devrons peut-être migrer le contenu ASP vers MySQL... et retourner sur un serveur Unix... ?
Les bris de services des derniers jours, mais aussi le style de Dave Winer (voir une des dernières flèches contre Macromedia et la réponse de Jeremy Allaire) ont fait des flammèches sur Userland... C'était à prévoir, que le développement rapide amène des crises.
Est-ce que le tarif de 39$ est en cause ? Pas assez de ressources pour soutenir le développement ?
La leçon à tirer des derniers jours : On ne peut s'attendre, pour 40$ par année, à une fiabilité de 2400$ par année!
Radio / Manila c'est un bon produit, plein de potentiels mais qui demande encore à être supporté plus largement. Je n'ai pas encore trouvé le serveur québécois prêt à installer Frontier sur ses serveurs. On me propose de louer un serveur dédié... Comme si j'allais louer un serveur dédié pour y mettre mon logiciel à 40$ !
Il reste encore du développement à faire...
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