J’apprenais hier qu’un colloque Association, économie sociale et solidaire, tiers secteur, société civile : le débat européen, avait lieu à Paris, au moment même de mon arrivée (27-28-29 avril). En voyant les frais d’inscription je me suis dit : passons ! (400 EU). Mais quelle surprise, je suis invité par un des organisateurs ! Re-surprise, en googlant le programme : le colloque se déroule (surtout) en anglais ! Bon, fallait peut-être s’y attendre : le débat européen ne se mène sûrement pas en français, pas plus qu’en allemand ! J’aurai plaisir à revoir certains intervenants de l’ISTR, du CRIDA ou de Réseau 21… et sûrement de découvrir de nouveaux réseaux et projets, tels le LISE ou l’ARDES, ou les projets soutenus par la Fondation de France.
Drôles de vacances qui s’annoncent ! Mais quoi ? Les musées c’est bien beau, mais pas trop à la fois. Et puis je n’ai plus l’estomac pour passer de longues journées dans les bistros et cafés à « changer le monde » !
À propos du titre donné à ce billet : si j’en crois la Grande rousse, il ne faut pas faire de sérendipité la simple traduction française de serendipity. En plus de l’aspect hasard heureux, il y aurait en français un sens de recherche qui rencontre, sur son chemin quelque chose d’autre…