Et moi qui voulais faire quelques kilomètres de testing sur le site du RQIIAC… et sur le questionnaire en ligne de la Maison des aînés…
À 20 minutes de connexion par consommation, je serai alcoolique (ou j’aurai des ulcères) avant la fin de ce séjour ! Me faudra peut-être regarder du côté du réseau des noeuds de Paris sans fil… et me trouver un parc devant une fenêtre offrant gracieusement un lien sans fil… réservant les cafés-consommations pour les moments, inévitables même à Paris, de mauvais temps…
Il me reste à trouver l’équivalent d’un Laïka à Paris, c’est à dire un petit café sympathique où on se connecte sans fil ni limite de temps… et où on peut, suprême attention, se brancher sur le courant alternatif parce que les batteries sont encore trop fragiles… Pourquoi donc ces demi-mesure : on t’offre le service gratuit pour 20 minutes… à chaque consommation. Comme si on allait engouffrer 3 cafés à l’heure… En fait on offre le service pour le passant qui désire voir s’il a bien reçu un courriel… mais pas pour l’usager sérieux.
Mais est-ce vraiment contraire à la logique économique du café que d’offrir la connexion gratuite à ses clients, sans limite de temps ? Pourtant c’est ce qu’offrent la plupart des Second Cup de Toronto (pour ceux de Montréal, faudra que je vérifie s’ils le font nombreux) et ils ne semblent pas près de fermer leurs portes… Penser, comme semblent le faire certains cafetiers, que d’accueillir les blogueurs et autres utilisateurs sérieux de la connectivité amènerait des parasites à leur table… c’est oublier la nature commensaliste des carnetiers…