Il semble que les parties du cerveau siège des émotions soient particulièrement mobilisées lorsque celui-ci doit faire un choix difficile. Intéressant renversement de la perspective rationaliste… qui commandait de se dégager de toute émotivité afin de prendre de bonnes décisions. Je sais l’émotivité n’est pas l’émotion mais ça doit quand même avoir un lien ! Plus sérieusement je crois que lorsqu’on fait face à un choix complexe la réflexion doit quitter le strict plan de la logique et faire appel à l’intuition… ce mélange de raison et d’émotion, non ? Un article de la revue Science, une référence tirée du fils RSS Science et santé de Radio-Canada.
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