Le sentiment d’être débordé, submergé par l’information est devenu commun, quotidien. Inconsciemment (ou consciemment) nous développons des stratégies de résistance et de résolution (coping strategies) : de fait la grande majorité de l’informaton qui nous entoure passe inaperçue, comme un bruit de fond qu’on oublie, une odeur omniprésente qu’on ne perçoit plus. Il est tentant de se délester de toute responsabilité devant une telle avalanche : pas moyen de faire le tri… aussi bien tout balancer ou ne rien lire !! Ce serait abdiquer des droits de regard et de critique chèrement acquis. Après la censure, les grands pouvoirs auraient-ils trouvé l’infobésité comme moyen de nous faire taire ?
Information Overload I keep returning to the topic of information overload. It seems to me that something must give – our pace of information or our process of adapting. Most likely, information development will not slow down (if anything, it will probably accelerate). The main area of control rests in our ability to adapt to this new information climate. Francis Heylighen has suggested (.pdf) our capacity to cope is a function of three elements (…). Posted by gsiemens, 05.12.27
Harnacher ou puiser dans le savoir collectif accumulé par Google : une manière de mettre de l’ordre dans le chaos ? Tout est dans la formulation de la question… mais aussi dans la conservation des résultats des recherches antérieures (avec mon blogue, mes "favoris"…) et une capacité de rechercher le Web autant que mon bureau de travail : le Google Desctop Search est ici d’une grande utilité et incomparable rapidité ! Et si nous pouvions mieux articuler, plus finement les efforts de collègues et collaborateurs ? Nous en sommes là : ajouter au site Web un extranet et convaincre les collègues d’y participer… tout en soutenant l’appropriation d’outils autonomes de gestion de l’info et de publication personnelle (blogues, listes, collections de citations, de "découpages" numériques…).
Google as second brain? Interesting article on the impact of Google (thanks Lisa). Why remember when you can search? When we offload basic cognitive functioning onto tools, in theory, we should then have more resources available for more advanced tasks.
I’ve noticed a similar benefit in blogging, furling, and using del.icio.us. Instead of filing and remembering, I dump content/resources into these tools and apply the intelligence at the search end (…). Posted by gsiemens, 05.12.21