Université d'été – Concordia: technologie et activisme

Un atelier intéressant… Technologies, médias et activisme. Toute la journée journée du 16 juin. Un vendredi : j’ai même pas besoin de demander à mon boss, puisque je ne travaille pas le vendredi ! C’est Mike qui m’a mis la puce à l’oreille. J’ai pourtant reçu le programme… L’ai-je reçu ou bien ce n’est que l’habituelle carte postale nous invitant à réserver les dates (du 11 au 16 juin) ? Je n’en suis plus sûr, car on ne reprouve pas, pas encore, le programme sur le site du Programme d’été de l’Institut de développement communautaire. Je n’avais pas remarqué vraiment, puisque c’est l’année du colloque biennal du RQIIAC… et que je dois y animer, justement, un atelier sur le développement de nos outils technologiques (site Web, listes courriel, extranet, carnets…).

Faut que je me décide si je veux participer à la Table ronde. c’est le 3 la date limite… Autrement je pourrai toujours y aller comme simple participant !

YULblog, une autre fois

Ça y est, j’ai encore passé mon tour pour le YULblog de ce mois ! J’étais pourtant bien parti… il faisait beau, pas froid pour un 1er février… Je me suis même rendu à mi-chemin ! Mais le coeur n’y était pas. C’est pas que j’aurais pas aimé revoir… Martine, Ed, Marie-Jo…  ou peut-être rencontrer pour la première fois Mike, Geoffroi, ou Catherine, ou Patata… et quelques autres parmi les centaines de blogueurs montréalais invités.

Beaucoup font comme moi sans doute : paresseux ? asocial ? Sans doute, comme le suggère Martine, la transformation en espace non-fumeur (comme ce sera le cas en mai prochain) pourrait éliminer un frein à ma participation : en tant qu’ancien fumeur encore « fragile » j’appréhende encore ces soirées enfumées.

Un ou deux autres freins pour ma part : le bilinguisme (!) Oui, je disais être paresseux ! Mais pour ceux-celles qui ne parlent que rarement l’anglais, c’est très frustrant de passer une soirée à se déboîter la gueule (et creuser le ciboulot) pour se faire comprendre ! C’est sûr qu’on peut toujours rester entre nous, les anglos d’un bord, les francos de l’autre… Mais ce serait plate, archi. Alors on se force un peu, et c’est pareil pour les anglophones qui s’y mettent souvent aussi, à essayer l’autre langue. Bon, c’est vrai qu’on finit sans doute par passer plus de temps en anglais qu’en français… Mais ça doit avoir évolué depuis la dernière fois que j’y suis allé ! À regarder le nombre de blogues avec des noms francophones inscrits sur Yulblog, les proportions ressemblent de plus en plus à la population montréalaise.

Et quelle autre « raison » ai-je en réserve pour ne pas y aller ?? La Cabane…  Pour ceux qui connaissent pas, c’est un genre dde croisement entre la Pataterie et la taverne du coin. Ça a un certain charme. Au premier chef, sans doute, celui de n’être pas cher. Ce qui devait être un critère pour les premiers blogueurs étudiants d’il y a 5-6 ans. Mais on pourrait pas changer ?? Tiens, juste 30 ou 40 mètres plus au nord, le Laika non ? C’est même un pôle du réseau « Une île sans fil ». Est-ce impensable ?? la tradition est (déjà) trop forte ? Ce serait pourtant un bon compromis : toujours situé sur la ligne de partage Est-Ouest, et représentant fièrement la diversité culturelle montréalaise…

C’est des excuses, je vous disais… En mars, promis, j’y vais.

mesurer le développement social et +

Dans la suite du billet récent, il me semblait que des travaux en français (et faits au Québec pour plusieurs) manquaient à cette énumération rapide. Par exemble, cette brique de 573 pages (pdf), Comment mesurer le développement social, de Paul Bernard et al. publiée en 2002 dont on peut voir un court résumé ici.

Ou cette revue systématique (plus de 75 indicateurs définis, avec références) Indicateurs de pauvreté et d’exclusion sociale, publié en novembre dernier par l’Institut de la statistique du Québec (pdf 95 pages).

Mais en plus de mesurer… il faut aussi promouvoir, favoriser, soutenir le dit développement social. Sur cette question un site canadien propose plusieurs outils et exemples documentés de développement social, communautaire, marketing social et prévention : Outils de changement. Les exemples sont souvent tirés de l’expérience anglosaxone mais ils sont présentés et expliqués en français, chouette !

Ajout: et quelque chose entre les deux (entre la mesure et l’action) : Le développement social, le point de vue des acteurs, par M. Lévesque et al.