Après avoir fouillé sous le capot de ce carnet depuis quelques jours… j’apprend que la vache de Karl s’en revient à Montréal. Ça me rappelle soudain le style minimaliste du carnet de ce poète urbain qui parcoure le monde depuis quelques décennies, amoureux du code et de la langue… l’œil toujours prêt à saisir le moment de grâce, la couleur offerte…
Heureusement il n’y a pas que la vache qui s’en vient à Montréal…
Bravo pour le nouveau ‘look’!
Merci Jean. Je n’ai pas encore fini… j’ai installé la « mécanique » mais je ne suis pas sûr d’être à l’aise avec tout le décor… Nous verrons.