Ce qui est inacceptable, actuellement, c’est qu’en haut lieu on se lave les mains de l’avenir de l’église comme si celle-ci était une «verrue» du tissu urbain, reliquat encombrant d’un passé révolu. [Le Devoir]
Un article qui ne manque pas de mordant… à propos des tergiversations entourant le sort de l’église Très-Saint-Nom-de-Jésus dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, dont on a parlé récemment, surtout à cause de ses grandes orgues. Mais les auteurs de l’article, Mme Phillis Lambert et M. Serge Joyal, soulignent avec raison l’importance de situer dans son contexte (le quartier, l’ancienne ville de Maisonneuve…) les enjeux entourant la conservation des patrimoines religieux.