On parle de liens, de connexions, de pôles et même de trous quand on parle de réseaux sociaux… mais les réseaux sont aussi fluides, dynamiques en ce qu’ils évoluent à travers les échanges qu’ils favorisent – qui les constituent.
L’influence, la confiance qui sont des produits des réseaux ont quelque chose du fluide : difficile à mettre en boîte ou à saisir. Et même cette image de fluide serait plus juste en terme de flux magnétique : ça passe ou non, il y a attirance ou répulsion…
Un peu des deux, il me semble. À la fois flux magnétiques et flots transportant des résidus, provoquant l’érosion des berges, modelant la forme et la structure du réseau à mesure que les échanges se produisent.
Je vais chercher dans la littérature ce qui pourrait soutenir une telle idée.