Ma plongée (voir billet précédent) dans les entrailles d’un sous-comité des Nations Unies m’a ouvert les yeux sur la complexité de cette organisation, et la lourdeur des processus qu’elle met en oeuvre.
Il y a des organisations (IMO), des conventions (LOS, en français : CNUDM; Convention de Minamata), des autorités (ISA), des fonds, des programmes, des conférences, des initiatives… et des comités ad hoc ouverts et informels…
Après avoir creusé les travaux du Groupe de travail spécial officieux à composition non limitée chargé d’étudier les questions relatives à la conservation et à l’exploitation durable de la biodiversité marine dans les zones situées au-delà des limites de la juridiction nationale, j’ai eu peine à situer ce groupe dans l’organigramme de l’ONU (plus bas). Finalement on trouve le site officiel de ce comité ad hoc sous la bannière de la Division des affaires maritimes et du droit de la mer, qui se trouve elle-même partie du Bureau des affaires juridiques du Secrétariat de l’ONU.
J’ai beaucoup utilisé deux sources internationales, basées au Canada, qui permettent de suivre plusieurs travaux internationaux : http://www.iisd.ca/ ; http://www.iisd.org/default_fr.aspx. [Je ne sais pas combien de temps va durer le site en français : il n’y a pas de lien entre le site anglo de tête (http://www.iisd.org/) et le site en français ! ]
Les sources Européennes et Américaines sont nombreuses… WWF, Greenpeace, FM
L’UICN, Union internationale pour la conservation de la nature. Son slogan : aide à trouver des solutions pratiques aux problèmes de l’environnement et du développement les plus pressants de l’heure : http://www.iucn.org/fr/ – NOTE : la représentante Canadienne à cette Union est une employée du Musée canadien de la nature. Cela peut donner une idée du caractère « stratégique » de cette Union vouée à trouver des solutions aux problèmes pressants de l’heure…