Que les deux grands vecteurs d’information au Québec, Radio-Can et TVA, en soient réduits à nous montrer pendant leurs nouvelles de fin de soirée des photos, des images d’archives, des entrevues de gens qui ont vu la chose, plutôt que l’événement lui-même est un affront au droit du public à l’information.
Soit les Jeux Olympiques sont un événement public mondial d’importance, et alors, au minimum, ses faits saillants doivent être librement disponibles à tous. Ou il s’agit d’un événement privé, d’intérêt restreint, et alors l’État devrait lui retirer la totalité de son financement. [JF Lisée]
Je suis tout à fait d’accord avec Jean-François. Et puis, le peu de fois où j’ai regardé « V », leur logo était la moitié du temps dans le chemin, parfois même dans la figure de la personne interviewée ! Il devrait y avoir moyen de garder une part pour les grands canaux de diffusion. Mais ce serait intéressant d’avoir une idée de la négociation qui a eu lieu. Le résultat est si contraire au « gros bon sens » que, peut-être, les grands réseaux ont-ils bluffé en ne voulant pas payer une part suffisante des frais ?