Un Blade Runner constitué de 12 597 planches aquarelles de 1,5 X 3 cm, produisant une version, une paraphrase de 35 minutes de ce film « culte » de Ridley Scott (1982). L’auteur est Suédois, il s’appelle Anders Ramsell.
4 courts métrages de Jean Eustache
Quatre courts métrages, en version intégrale, de Jean Eustache, surtout connu pour son « La Maman et la putain » avec Jean-Pierre Léaud. Ici présentés à la suite : Les mauvaises fréquentations ; Le père Noël a les yeux bleus ; Une sale histoire ; Les photos d’Alix. [réf. de Rue89/culture]
Tiré du même compte Youtube de Jérôme Nicolas, toujours en versions intégrales, La nuit du carrefour, un film de Renoir (1932) basé sur un roman de Simenon ; Le dernier tournant, de Pierre Chenal (1940), avec Michel Simon, adapté du roman The postman always rings twice ; et, parmi d’autres, le dernier film de Maurice Pialat : Le garçu.
quelques minutes en moins &?%!##
Je viens d’écouter Une homme et une femme, de Claude Lelouch (1966). Je ne l’avais jamais vu. Palme d’or à Canne, 3 Oscars ! Et, comme c’est devenu une habitude avec les films enregistrés à la programmation de Télé Québec, j’ai raté les dernières minutes du film : qu’arrive-t-il lorsque le train arrive en gare, et que Jean-Louis s’y trouve pour surprendre Anne ? Mon histoire s’arrête là…
C’est devenu une désagréable habitude : Télé Québec ne semble pas capable de planifier son temps d’antenne avec assez de précision pour me permettre d’enregistrer correctement les films de répertoire proposés. Alors j’ajoute ce film à la collection de ceux que je devrai louer, un jour, pour en connaître les dernières minutes… Ou bien je l’achèterai, car c’est si bon que ça, pour ajouter à ma collection de films « classiques » qui pour l’instant ne comptent que des Woody Allen et quelques Michel Brault et Denis Arcand. Et aussi la version du réalisateur de Blade Runner.
mémoire des anges
La mémoire des anges, Luc Bourdon, offert par l’Office national du film du Canada
La mémoire des anges, un film constitué d’extraits de 120 films et chutes de films de l’ONF. Je ne croyais pas y prendre autant de plaisir… Est-ce parce que j’ai vu, de mes yeux une bonne partie de ces images, ou des scènes semblables, contemporaines à celles présentées ? Pas seulement… Il y a une poésie certaine et une valeur historique indubitable : Montréal était encore la capitale du Canada, à l’époque.
Le port de Montréal, la vie nocturne de Montréal, les tramways… Saint-Henri et les usines du CPR…
rodage fini
J’ai finalement terminé la mise à jour de mon logiciel WordPress, étant passé de la version 2.1.12 à 2.6.0 puis, 2.6.1
Quelques problèmes avec la manière dont le système écrivait les adresses permanentes (URL, permaliens) des articles ont finalement été réglés.
Ce qui ne m’a pas empêché d’aller voir deux films, trois en fait, au Festival des films de Montréal. Le loup, un film de Suède-Norvège-Finlande était à vous donner de partir en forêt pour quelques mois… alors que Woody Allen avec son VICKY CRISTINA BARCELONA livrait une comédie rafraîchissante où j’ai particulièrement apprécié Bardem et Cruz.
Le troisième ? Euh… Ça devait être un chef-d’oeuvre, je ne m’en souviens plus !
mémoire
Michel Breault (Les raquetteurs, La lutte… ), Pierre Perreault (Voitures d’eau…) et Denys Arcand (On est au cotton, Le confort et l’indifférence, Québec : Duplessis et après…) dans la Collection Mémoire de l’ONF.
Des bijoux, des classiques.
courts métrages : les finalistes
On m’apprend que le concours de l’ONF « Faites des courts, pas la guerre » tire à sa fin : vous avez jusqu’à demain pour voter pour le meilleur court métrage. On peut visionner et coter les 4 finalistes : Le ouijascope (Haute vitesse – Basse vitesse), de Ana Ponce; Conte moi la guerre, (H, B), de Raphaël Posadas; Lettre d’un soldat, (H, B), de Patrick Duhamel et Lettre de mon père, (H, B), de A. Neveu-Pépin et A. Hamel.
Allez y jeter un coup d’oeil… et si vous ne savez pas pour qui voter… votez pour le derneir : Lettre de mon père, c’est le petit-fils de Bernard, un grand-père actif dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve depuis… toujours ! Bonne chance aux Alexandres !
Dépêchez-vous, ça se termine DEMAIN !
l’enfant PFK
Un petit vidéo pas toujours drôle où l’on voit un enfant déjà obèse s’empifrer de Poulet frit Kentuky tout en répondant aux questions de ce qui apparaît être Julien Poulin et Pierre Falardeau en voix hors champ. Un bel exemple de la culture de la pauvreté : non pas une absence de culture, car il connaît ses joueurs de baseball, ses vedettes de la lutte… et sait ce qu’il aime et n’aime pas.
P.S. (2019) : Cet enfant de 6 ans, interviewé dans Hochelaga-Maisonneuve dans les années 70, s’appelle Paul Ross. Jules Falardeau, le fils de Pierre Falardeau, et Frédéric Guindon ont retracé et persuadé Paul Ross de participer à ce court mais touchant reportage.