plateau de travail

C’est de ce balcon, rue Caillaux, 13e, que je blogue en ce moment. Il fait (enfin) plus chaud… et je peux voir la tour Eiffel au loin… caillaux_balcon.jpg

Toujours en me servant de la liaison sans fil aimablement (et anonymement) même si de manière sporadique mise à ma disposition par un voisin ! Ce matin, c’était particulièrement froid et venteux, mais la connexion était très bonne… peut-être sommes-nous nombreux sur ces balcons parisiens à partager ce lien ?!

Ajout: (12 mai) : il fait encore plus chaud et le lien tient toujours !! Mais de manière fluctuante (de 1 à 54 Mbits).

du Périgord

Quelques belles randonnées dans les Périgord noir, pourpre puis vert… Sur la photo ci-contre, l’ami Alain m’a pris en flagrant délit de tenter de découvrir ce qui se cache sous la feuille de vigne !

Le Laïka de Paris existe-til ?

Et moi qui voulais faire quelques kilomètres de testing sur le site du RQIIAC… et sur le questionnaire en ligne de la Maison des aînés…

À 20 minutes de connexion par consommation, je serai alcoolique (ou j’aurai des ulcères) avant la fin de ce séjour ! Me faudra peut-être regarder du côté du réseau des noeuds de Paris sans fil… et me trouver un parc devant une fenêtre offrant gracieusement un lien sans fil… réservant les cafés-consommations pour les moments, inévitables même à Paris, de mauvais temps…

Il me reste à trouver l’équivalent d’un Laïka à Paris, c’est à dire un petit café sympathique où on se connecte sans fil ni limite de temps… et où on peut, suprême attention, se brancher sur le courant alternatif parce que les batteries sont encore trop fragiles… Pourquoi donc ces demi-mesure : on t’offre le service gratuit pour 20 minutes… à chaque consommation. Comme si on allait engouffrer 3 cafés à l’heure… En fait on offre le service pour le passant qui désire voir s’il a bien reçu un courriel… mais pas pour l’usager sérieux.

Mais est-ce vraiment contraire à la logique économique du café que d’offrir la connexion gratuite à ses clients, sans limite de temps ? Pourtant c’est ce qu’offrent la plupart des Second Cup de Toronto (pour ceux de Montréal, faudra que je vérifie s’ils le font nombreux) et ils ne semblent pas près de fermer leurs portes… Penser, comme semblent le faire certains cafetiers, que d’accueillir les blogueurs et autres utilisateurs sérieux de la connectivité amènerait des parasites à leur table… c’est oublier la nature commensaliste des carnetiers…

De la Sorbonne

bCafeMonde.jpgQuelques clichés des jours un et deux. Promenade le long du canal St-Martin, et du fameux hôtel du Nord. Fin de la journée aux Tuileries… début au marché sur le boulevard de l’Italie.

Un premier mot de Paris

balcon.jpgJuste pour vous dire que ça va très bien : après avoir raté mon avion à Toronto (oui, trompé d’aérogare… m’en suis aperçu trop tard, avec le TRÈS grand nombre de préposés qu’il reste sur les planchers…) mais ça  m’aura permis de passer une soirée chez le neveu Georges, et de visiter un des nombreux Second Cup de Toronto avec réseau sans fil…

J’ai pu assister à un petit bout seulement de la conférence sur le Tiers secteur, tenue au CNAM : vendredi après-midi je dormais debout ! Mais ce matin, samedi, nous sommes allé visiter un peu…

Pour le moment, j’écris ce message de ce balcon, ayant eu l’agréable surprise de pouvoir me connecter à un réseau voisin (non sécurisé) !

sérendipité

J’apprenais hier qu’un colloque Association, économie sociale et solidaire, tiers secteur, société civile : le débat européen, avait lieu à Paris, au moment même de mon arrivée (27-28-29 avril). En voyant les frais d’inscription je me suis dit : passons ! (400 EU). Mais quelle surprise, je suis invité par un des organisateurs ! Re-surprise, en googlant le programme : le colloque se déroule (surtout) en anglais ! Bon, fallait peut-être s’y attendre : le débat européen ne se mène sûrement pas en français, pas plus qu’en allemand ! J’aurai plaisir à revoir certains intervenants de l’ISTR, du CRIDA ou de Réseau 21… et sûrement de découvrir de nouveaux réseaux et projets, tels le LISE ou l’ARDES, ou les projets soutenus par la Fondation de France.

Drôles de vacances qui s’annoncent ! Mais quoi ? Les musées c’est bien beau, mais pas trop à la fois. Et puis je n’ai plus l’estomac pour passer de longues journées dans les bistros et cafés à « changer le monde » !

À propos du titre donné à ce billet : si j’en crois la Grande rousse, il ne faut pas faire de sérendipité la simple traduction française de serendipity. En plus de l’aspect hasard heureux, il y aurait en français un sens de recherche qui rencontre, sur son chemin quelque chose d’autre…

Paris en mai

Ça y est, mes billets sont achetés : du 27 avril au 6 juin ! Quatre semaine à Paris et dix jours ailleurs ! J’irai peut-être même faire un tour au Paris Carnet de mai !

Les seules fois où je suis passé à Paris, c’était pour quelques jours, ou quelques heures… le temps d’un colloque. J’aurai le temps de découvrir un peu de cette ville magnifique. Sachant mon intérêt pour la transformation de certains tracés de voies ferrées à Montréal, une collègue me faisait parvenir ces liens

Et le meilleur : pas de logement à payer ! Je squatterai le (petit) deux pièces de Jacinthe, dans le 13e, qui s’y trouve depuis déjà un mois… pour travailler la pôvre ! Et moi, ce ne sera pas pour travailler… ou si peu. Bouquiner, oui ! Visiter des initiatives en économie solidaire et innovations sociales en matière de services aux aînés… particulièrement autour de la question de la participation sociale des aînés… si ça se trouve! 😉 

Vivement avril, que mai arrive ! Et si vous avez des suggestions pour les dix jours de vacances en province… Je suis preneur !