Twitter + RSS

Suivre différents fils d’actualités

Je n’étais pas stimulé ce matin par la lecture du fil Twitter, après avoir lu mon quotidien et jeté un oeil sur les dernières parutions de mes quelques 300 amis FaceBook. Peut-être devrais-je prendre l’habitude de suivre l’ordre chronologique de publication, plutôt que de laisser l’algorithme de Twitter me suggérer « ce qui m’intéressera le plus ».

Mais cela m’aura donné l’occasion de renouer avec mes abonnements RSS, suivis grâce à un agrégateur (NetNewsWire sur Mac ou iPad ou encore Feedly sous Windows). Quelques 2500 publications accumulées depuis ma dernière visite ! Ou plutôt non lues encore, car elles resteront « non-lues » tant que je n’aurai pas décidé de les lire ou de les considérer telles.

J’ai ainsi eu le bonheur de lire quelques pages de carnets qui ne sont pas accessibles autrement : ni sur FaceBook ni sur Twitter. Je pense aux Carnets de La-Grange, publiés depuis… mars 2000 ! Quel style ! À chaque billet (presque quotidien) une image originale, issue des pérégrinations de l’auteur dans les rues de Tokyo; une courte citation d’un livre lu actuellement; quelques phrases aux accents poétiques ou philosophique; en plus de quelques notes plus techniques, reliées à ses intérêts scientifiques ou professionnels.

Jean-Christophe Courte continue d’animer son Urban Bike, qui se compose plus souvent, maintenant, de courts billets reprenant, archivant les gazouillis de l’auteur, que je suis par ailleurs sur Twitter. Mais de visiter son carnet m’a donné une meilleure vision de son parcours récent et un rappel de son esthétique bien à lui !

J’ai eu aussi beaucoup de plaisir à lire les dernières productions de Hubert Guillaud, sur InternetActu. Dé-monopoliser l’internet par l’interopérabilité; Sans transition : de nos vies avec et dans les machines du quotidien; Pour un féminisme des données; Application de suivi de contact : quel bilan ?… Quel souffle ! Des présentations détaillées et fouillées sur des questions pertinentes.

J’ai été surpris de ne pas avoir remarqué les annonces de ces billets de InternetActu dans Twitter ni dans Facebook. Il faut croire que mes interactions avec ces sources (« like » et partages) n’ont pas été suffisamment intenses pour que les algorithmes me les proposent ! J’ai tenté de remédier à la chose en « likant » les articles les plus appréciés, sur les pages InternetActu dans les deux environnements. Je verrai si cela fait évoluer l’algorithme…

Ma petite escapade hors des sentiers habituels, avec les bons vieux fils RSS m’aura permis d’échapper quelques heures à la cohue préélectorale ! Il me faut cependant y retourner car demain je participe au webinaire « Entre deux votes, faudrait faire quelque chose » !

modération de communautés en ligne

Peut-être y a-t-il de nouveaux trucs à glaner pour accroître la participation en ligne des OC ?

Best Practices for Moderating Your Online Community

oc_report_newsletter. Join online community expert, Bill Johnston of Forum One, and Mzinga moderation guru Mike Pascucci for in-depth examination and discussion on all aspects of community moderation, including key best practices. Session highlights will include:

* Developing effective community member guidelines and policies for appropriate content

* Ensuring a welcoming and risk-free online community environment, without hindering member activity and discussions

* Multiple moderation techniques, from proactive monitoring to content seeding and post-moderation—and practical advice on which approach to take
September 30th at 2 pm ET

rodage fini

J’ai finalement terminé la mise à jour de mon logiciel WordPress, étant passé de la version 2.1.12 à 2.6.0 puis, 2.6.1

Quelques problèmes avec la manière dont le système écrivait les adresses permanentes (URL, permaliens) des articles ont finalement été réglés.

Ce qui ne m’a pas empêché d’aller voir deux films, trois en fait, au Festival des films de Montréal. Le loup, un film de Suède-Norvège-Finlande était à vous donner de partir en forêt pour quelques mois… alors que Woody Allen avec son VICKY CRISTINA BARCELONA livrait une comédie rafraîchissante où j’ai particulièrement apprécié Bardem et Cruz.

Le troisième ? Euh… Ça devait être un chef-d’oeuvre, je ne m’en souviens plus !

Photoshop Express

La glissade !.

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Photoshop se lance dans l’hébergement de photos, avec Photoshop Express, en ajoutant des services d’édition (minimale) et de retouche aux photos déposées. Je n’ai pas eu besoin de retoucher ces photos, de la première journée de Mathis à la plage ! (sauf ci-contre où j’ai fait ressortir la couleur de la peau en atténuant les autres couleurs, en deux clics…)

Ici le deuxième album, où Mathis est vraiment dans l’eau… avec son père.

recensement 2006 : les cartes (et tableaux) du CMIS

unions-libres.jpgLes premières cartes tirées du recensement 2006 sont accessibles sur le site du Carrefour montréalais d’information sociosanitaire (CMIS). Familles, logements, moins de 14 ans, personnes vivant seules…

Un logiciel en ligne facile à utiliser, qui permet de saisir la région totale, ou des territoires de CLSC, de CSS, de codes postaux… et d’obtenir sous forme de fichier excel les données par aires de diffusion pour le territoire sélectionné.

Comble de bonheur… on peut même importer ses propres données pour les cartographier sur Montréal : j’ai un fichier des adresses des membres d’un groupe… avec les 3 premiers caractères du code postal, je peux faire une carte de la répartition géographique, puis réexporter cette carte en format PDF ou jpg. Et tout ça, gratis !

2008 : réseaux sociaux portables ou ouverts ?

Facebook Disabled My Account: « Robert Scoble was kicked off Facebook ‘for running a script’. Later that day, he discovered dataportability.org and became a convert to open social networks. He writes, ‘I am working with a company to move my social graph to other places and that isn’t allowable under Facebook’s terms of service.’ This, I think, is a pretty clear message from Facebook to the effect that it thinks it owns your data. Interestingly, it deleted Scoble’s account from its system – as he notes here, Facebook can delete your information if it wishes. » (Via Stephen’s Web ~ OLDaily.)

Les quelques moments que j’ai passé sur Facebook ces dernières semaines n’ont fait que confirmer ma première impression : un espace rempli de gadgets parfois sources de « addwares » et autres malwares. Peut-être sera-t-il possible d’ici peu de créer le même genre de réseautage mais de façon plus ouverte, où aucune compagnie ne s’approporiera de mon carnet d’adresse (après l’avoir importé de Gmail, comme c’est le cas de Facebook) mais où il me sera possible d’exporter où je veux et quand je veux les contenus de ma création.

Mais j’ai bien les gadgets quand même… Ceux qui sont utiles, comme plusieurs de cette liste (PDF) créée par Jane Hart des cent meilleurs outils d’apprentissage en ligne.

les espaces-logiciels de social networking

Après MySpace, Second Life, Facebooks, qui faisaient suite à Orkut, et autres Friendster… peut-on dire- que l’année 2007 fut celle du web social networking ? Je suis plutôt de l’avis de Kottke : les réseaux fermés (tel Facebook) sont beaucoup moins intéressants que ce que le web actuel peut offrir. Les efforts de certains pour créer un standard de Open social networking pourront peut-être faciliter les échanges et la mobilité des liens et de l’information entre ces réseaux.

Je n’ai pas fini de lire le dossier (et les liens) sur cette question dans la dernière livraison du bulletin du Online community report. La principale utilité que j’ai trouvée jusqu’ici à Facebook, c’est de m’avoir permis de contacter directement plusieurs de mes neveux et nièces à l’occasion des fêtes !

aussi : Wired : Slap in the Facebook

Un (autre) lecteur qui ne lèvera pas

« Your rights under this Agreement will automatically terminate without notice from Amazon if you fail to comply with any term of this Agreement. In case of such termination, you must cease all use of the Software and Amazon may immediately revoke your access to the Service or to Digital Content without notice to you and without refund of any fees. Amazon, Kindle Terms of Service »

(Via Dive into Mark.)

J’ai cru un instant que ce nouveau gadget (Kindle) de lecture (après le Sony Reader, le Cybook et d’autres) allait être le bon : après tout, c’est lancé par Amazon… celui de qui j’achète mes livres (enfin quelques uns). Mais là semble le problème : le méga vendeur de livres-papier ne semble pas près de remettre en question un iota de son pouvoir, mais bien plutôt à l’augmenter de toutes les manières…

En fait le format électronique n’apporte pas les avantages pour le lecteur qui devraient aller de soi : possibilité de copier des extraits dans un autre document; possibilité de prêter le livre à quelqu’un d’autre après l’avoir fini… la technologie ne profite qu’à Amazon qui vient chercher le détail de nos habitudes de lectures pour nous offrir, oui encore plus de produits… mais des produits qui, finalement, coûteront plus cher que leur version papier (considérant les limites imposées à leur circulation), et seront moins utiles. Combien de lecteurs un livre (un bon) peut-il satisfaire ? Combien de fois ai-je prêté, incité quelqu’un à lire un bouquin que j’avais aimé ? Finalement l’ancienne formule papier est plus conviviale et facilite la circulation de la culture et de l’info mieux que ces prouesses hightech !

Le lecteur digital qui me convaincra devra être autonome, être léger et lisible, oui, mais surtout être lié, non seulement à mon libraire mais à mon ordinateur, mon blog, mon réseau local.

D’autres revues de ce nouveau « bouquineur » ne sont pas aussi négatives : Boingboing, Pisani

GTD avec Journler

Je ne savais même pas ce que c’était que GTD, comme dant Getting Things Done. Et maintenant, avec ce « Journler » que Jane (voir plus bas) m’a fait découvrir, je vais pouvoir gérer mes priorités sans me stresser !

Tellement peu de stress… que j’oubliais l’heure !!

Un dernier mot, que j’ai lu ou entendu récemment, je ne sais plus où, mais je ne veux pas l’oublier: gabelou.

La gabelle est une taxe sur le sel ayant existé en France au Moyen Âge et à l’époque moderne. C’était alors l’une des aides ou taxe indirecte. Le mot vient de l’italien gabella (« taxe »), lui-même venant peut-être de l’arabe qabāla. Les gabelous se chargeaient de la récolte de la gabelle. (tiré de Wikipedia)