l’espace comme organisation du comportement (ou vice versa)

« a stable, enduring and obdurate (though not immutable) world of spatial arrangements, the meaning of which is known in common by members ». Remarks on the social organisation of space and place (pdf) Andy Crabtree

Abstract. Human conduct is always situated in a particular space or place yet little is understood about the social organisational relationship between space, place and conduct. (…)
Keywords. Space, place, social organisation, situated activity, embodied practice, interactional competence, naturalistic inquiry, ethnography, ethnomethodology. Référence de  [Purse Lip Square Jaw]
Dans le débat sur la territorialité… ce texte mais aussi (peut-être plus) sa bibliographie sont à lire.

Rendez-vous d’automne

Un dépliant de l’ACCQ qui a de la gueule… plus que d’habitude. On s’organise… on s’inscrit.

Suffirait-il de s’inscrire pour s’organiser ? En tout cas j’ai suivi de trop près ces débats depuis des années pour manquer ça. Castonguay, Rochon et Clair… sur le diagnostic; suivis du point de vue des acteurs, puis après dîner les « principes » avec Vaillancourt (les démocratie), Lalande, des VVS, (la territorialité) et Paul Lamarche (la première ligne).

Introduction aux archives du mois de septembre 2003

carnets d’affaires

Blogs for What Business?. Jimmy Guterman’s new piece on business blogging (sub. required) is sure to cause a stir. He charges the blogging community as being « self-absorbed and elitist » and says its not essential for business. (…) I believe what Jimmy is saying is that there isn’t a consumer market for blogging and that it isn’t essential for businesses to address it. (…) The number of participants is growing at 400% per year, and that’s before AOL’s entry. (…)

The enterprise market is entirely different than the consumer market. What is in common is an efficient, and dare I say fun, way of having conversations that contribute to productivity. Maybe its time we start telling more of our customer stories, but the distinction between consumer and enterprise needs to be made. [Corante: Social Software]

Ce ne sont ni les blogueurs ni les lecteurs de carnets qui seront les « marchés ». J’ai l’impression que l’outil carnet s’inscrira dans la palette des outils Web, afin d’accélérer les échanges, d’initier la conversation entre clients (lecteurs ou visiteurs – clients potentiels) et producteurs, entre clients eux-mêmes… À mon sens l’outil carnet représente une avancée, une nouvelle génération de protocoles (comme les newsgroups ou forums à une autre époque) qui pousse un peu plus loin la capacité d’interaction et de communication.

De ce point de vue, le carnet utilisé en contexte d’affaires c’est d’abord une interface pour la mise à jour facile (par un non-technicien) et régulière, favorisant les échanges-commentaires et le feed-back (ping et trackback) avec les partenaires, les clients, les compétiteurs… Je ne sais plus qui disait récemment : ce n’est pas la mise en page qui compte mais ce que tu dis ! Et si ce que tu dis s’inscrit dans le contexte de ce que les autres disent, sous forme de commentaires, de critiques, de suggestions… de conversation, donc, tu attireras des lecteurs, et tu deviendras un point de référence.

C’est à cela que l’outil carnet servira. Et il n’est même pas essentiel : on peut et on pouvait faire cela bien avant les blogs. C’est juste qu’aujourd’hui on n’a plus besoin d’un technologue pour faire la mise à jour et tricoter les liens et bases de données… Ce qui rend accessible cette manière d’utiliser la Toile à presque tous. Mais la technique ne remplacera pas le contenu, et c’est bien ainsi !

Le contenu est certes influencé par la technique, en ce qu’il doit s’ajuster continuellement, qu’il a avantage à s’inscrire comme un flux plutôt qu’une encyclopédie… qu’il doit oser s’ouvrir, dialoguer, assumer le risque de se tromper. Les meilleurs carnets d’affaires ne s’identifieront peut-être même pas comme carnets (blogs) : ceux-ci ne seront qu’une porte ouverte, à côté de la vitrine traditionnelle.

Introduction aux archives du mois d’août 2003

BMJ payant en 2005

Ça pouvait pas durer… Le site du British Medical Journal, d’une qualité exceptionnelle, deviendra payant (sauf pour les étudiants en médecine et les visiteurs venant des pays pauvres). La circulation sur le site a connu une croissance exponentielle ces dernières années.

Restera à convaincre mon CLSC, ou la bibliothèque du coin, de s’abonner ! Incidemment cette semaine l’éditorial porte sur la valeur des résultats négatifs… Quand la recherche démontre qu’il n’y a pas d’effet à utiliser tel ou tel médicament. C’est effectivement moins ‘sexy’ – ce qui fait que ces recherches sont parfois rejetées par certaines revues. La référence de l’éditorialiste à un commentaire (une croyance serait plus juste) de Bush fait sourire :

 « I know whatI believe, » he said in Rome two years ago. « I will continueto articulate what I believe and what I believe—I believewhat I believe is right. » Well, often what we believe is notright.

On se prend à regretter déjà les limites à la diffusion de ces éditoriaux indépendants.

Introduction aux archives du mois de juillet 2003

médecins de famille et habitudes de sédentarité ?

Le Conseil canadien des médecins de famille propose quelques pistes

Des outils comme « Vert l’action », des carnets d’ordonances incitant à l’action…  ont été développés avec Santé Canada… Mais est-ce que les médecins sont payés pour de telles « prescriptions » ? J’espère que oui, car s’ils le sont pour prescrire des pilules et pas pour prescrire de faire plus d’activités… y’a quelque chose de vicié dans la médecine alors ! Reste à voir si la prescription d’activité est aussi efficace (et facile à suivre) qu’une prescription de médicaments !

Le guide d’activités physiques, de même que celui pour les aînés, semblent aussi des outils intéressants.  En fait la question est moins celle du rôle des médecins que des incitatifs (environnementaux, en milieu de travail, dans les médias… ) vers une plus grande activité physique.

Voir les rapports de l’Institut canadien de la recherche sur la condition physique et de l’ISQ (aussi le fichier PDF, pas facile à repérer la première fois!), dont ce court texte « La sédentarité : un danger pour la santé« .

Il est démontré que l’activité physique régulière favorise la santé; elle abaisse le risque de mortalité, par quelque cause que ce soit, et celui de nombreuses maladies chroniques chez les adultes. (…) L’excès de poids et l’obésité continuent de gagner du terrain au Canada, en raison du manque d’activité et de mauvaises habitudes alimentaires. » [extrait du Rapport sur la Santé des femmes en Ontario, chapitre 21]

Introduction aux archives du mois de juin 2003

l’autre Amérique, en passant par la France

Chaque jour, les ondes grouillent de messages en forme d’avertissement, de menaces implicites ou explicites, d’invectives rageuses et de haine dirigés contre les voix dissidentes. Et le public reste muré dans son opposition silencieuse et sa peur. […] Qu’en est il de l’opposition politique dans l’antre de cette folie ? Où sont donc passés tous les démocrates ?

Quel bonheur d’entendre un autre point de vue… Tim Robbins, sur le Réseau Voltaire.

Introduction aux archives du mois de mai 2003

cartographier localement….

Cherche solution pour illustrer des territoires simples (15-30 secteurs de recensement) en lien avec données sur tableurs. Me demande si Geotools ne serait pas la solution : un site multilingue, une solution open-source, gratuite, ne demande que l’interpréteur Java (lui aussi gratuit).

Mais je dois avoir une carte en format «ESRI(tm) Shapefile format»… mais comment trouver un ‘exportateur’ de fichier vectoriel vers ce format ?

J’ai peut-être trouvé… ‘CADtoSHAPE‘ qui pourrait prendre un ensemble de polygones de format DXF ou DWG (exporté par Corel, ou autres logiciels de dessin) et l’exporter en format SHAPE, lui-même utilisable par GeotoolsOuais, voyons si ça marche !

Introduction aux archives du mois de mars 2003

 

Espaces émergents : la relève dans toutes ses couleurs

De retour pour la seconde année, Espaces émergents  «Un espace de création et un lieu permanent de rencontres, de découvertes et d’échanges. Une porte ouverte aux créateurs de l’art de demain, de la musique aux arts médiatiques, en passant par la danse, les arts visuels, le théâtre, la littérature, les arts de la rue, le cinéma et toutes les récentes formes de création.»

Ça se passe au Zest, mais aussi dans l’ancienne usine American Can, où on nous convie à 40 000 pieds carrés de vernissages; des spectacles de musiques dans la toute nouvelle salle du Zest, rue Ontario… Juste en face du CLSC, dans l’ancienne caserne de pompiers au 4200 Ontario.

Introduction aux archives du mois de février 2003